La pollution selon les modes de déplacement
Pollution subie
On présuppose généralement que l’on est plus exposé à la pollution à vélo que dans une voiture ou dans le métro. Or il n’en est rien, car qui dit vélo dit déplacement à l’Air Libre.
A deux roues, on peut d’ailleurs éviter de suivre les pots d’échappement les plus désagréables. On s’écarte, on se laisse distancer éventuellement. Ou encore on retient sa respiration…
Bonnes pratiques :
– porter des lunettes, pour se protéger de la poussière, surtout si on est porteur de lentilles de contact ;
– mieux encore, des lunettes photochromiques pour se protéger aussi du soleil ;
– et même, se rincer le nez et les yeux avec du sérum physiologique quand on arrive.
Pollution émise
Au moins, à vélo, on ne pollue pas soi-même, ou si peu ! Pas de bruit, pas de gaz d’échappement, un encombrement minimum… Et puis le vélo est l’appareil de locomotion le plus recyclé qui soit. Il suffit en effet pour s’en convaincre.de constater la variété des modèles en circulation, de toutes générations.
Bougez, vous ferez avancer le monde !
L’air le moins pollué est à l’air Libre !